Le lifting du visage ou lifting cervico-facial
Auteur : Professeur Marc Chaouat
La demande concernant le relâchement du visage a pour objectif de lutter contre le signe le plus évident du vieillissement mais aussi contre un aspect du visage fatigué ou triste. Le patient exprime souvent que son visage ne reflète plus ce qu’il est vraiment. Le patient a parfois déjà en tête l’idée du lifting du visage, ou il peut avoir besoin d’être conseillé ou même parfois se méfie du terme « lifting » avec des idées préconçues péjoratives. L’écoute du patient, l’analyse et les explications claires permettrons alors d’indiquer ou pas le lifting chirurgical associé éventuellement à une blépharoplastie. Dans d’autres cas, seul des traitements de médecine esthétiques seront préconisés.
Définition & indications pour le lifting du visage
L’apparence du vieillissement est d’abord reflétée par le visage indépendamment de la qualité de la santé, des capacités physiques et du psychisme. Il s’agit le plus souvent d’un cou moins bien défini, d’un double menton, de rides du front, de rides du lion (entre les sourcils), de plis d’amertume (dans les coins de la bouche), des joues relâchées avec apparition de bajoues. Si la demande est parfois bien précisée sur son visage par le patient, certains consultent avec une demande plus globale : j’ai le visage qui a vieilli, je ne me reconnais plus devant le miroir, on me dit toujours que j’ai l’air fatigué, mon visage a changé d’expression. Souvent cette prise de conscience est assez brutale. En effet le relâchement est toujours d’apparition progressive mais c’est à un certain seuil que le patient le perçoit. Ce niveau dépend de chacun. Ainsi certains patients consulteront dés un relâchement modéré, d’autres à un stade beaucoup plus marqué et certains bien sûr ne consulteront jamais. L’indication de lifting est comme toujours la concordance d’un désir du patient et d’une indication chirurgicale satisfaisante pour y répondre. Il y a aussi un niveau seuil de décision chirurgicale pour que l’intervention apporte un réel bénéfice, pour que l’intervention « vaille le coup ».
Le lifting peut être réalisé chez un homme aussi bien qu’une femme. La traduction du mot lifting est relever, ce n’est pas tendre. Il s’agit donc de repositionner la peau et les muscles du visage vers le haut puisque la pesanteur et le relâchement les redescendent. Souvent les patients font cette simulation devant le miroir, et nous le faisons également lors de la consultation : remonter la peau du visage vers le haut en mettant un doigt devant et un doigt derrière l’oreille.
Le résultat que l’on obtient par cette simulation donne une très bonne idée de l’objectif et du résultat du lifting. Il ne s’agit en aucune façon d’avoir une peau tendue qui ne serait pas naturelle et qui renvoie à des clichés péjoratifs du visage figé inexpressif et boursouflé. Un lifting, ça ne doit jamais être cela mais au contraire un visage qui garde toute sa personnalité, son dynamisme, son expressivité mais en le soulageant de ses lourdeurs, de son aspect fatigué et en diminuant ses rides. J’ai utilisé le terme « diminuer les rides » car en effet les rides sont dues au relâchement qui sera traité mais également à l’affinement de la peau et à une certaine perte d’élasticité qui ne seront pas traitées par le lifting du visage.
Objectifs du lifting du visage
Ce qu’il faut savoir concernant l’intervention
Consultation chirurgicale
Il est souhaitable de voir le chirurgien une à deux fois avant l’intervention pour bénéficier d’une bonne information et poser des questions si nécessaire.
Tous les antécédents médicaux sont pris en compte et doivent être compatibles avec l’intervention. Les antécédents ophtalmologiques sont bien sur importants à connaitre pour identifier une éventuelle fragilité ou contre-indication à cette intervention.
Lorsque cette demande s’intègre dans une demande plus globale de rajeunissement du visage. Dans ce cas une analyse de l’ensemble du visage sera réalisée. Parfois il sera proposé une chirurgie des paupières associée à un lifting du visage ou éventuellement à des injections d’acide hyaluronique ou de toxine botulique.
Cela permet de vous expliquer :
- L’objectif de l’intervention
- Les recommandations avant l’intervention
- Le type d’anesthésie et la consultation d’anesthésie en cas d’anesthésie générale
- La technique chirurgicale
- La position et l’évolution des cicatrices
- Les conséquences de l’intervention
- Les suites opératoires et les complications possibles
Un devis et un formulaire de consentement vous est remis.
En cas d’anesthésie générale, une prise de sang vous être prescrite dans le cadre du bilan préopératoire.
Avant l’intervention
Les recommandations avant l’intervention :
- Éviter l’aspirine, qui fluidifie le sang, dans les 10 jours qui précèdent l’intervention. Cependant si l’aspirine fait partie d’un traitement prescrit par le médecin, il faudra prendre l’avis du médecin avant d’arrêter le traitement.
- Éviter de prendre des médicaments non prescrits et transmettre tous les médicaments prescrits
- Le paracétamol n’est pas contre indiqué pendant la même période
- Si vous fumez l’arrêt du tabac est souhaitable une semaine avant et une semaine après l’opération.
- Aucun maquillage ni sur le visage ni sur les ongles des mains et des pieds.
L’anesthésie
L’anesthésie est dans la grande majorité des cas une anesthésie locale.
Il n’y a pas dans ce cas de consultation d’anesthésie car c’est le chirurgien qui fait lui-même l’anesthésie. Un médicament pour relaxer le patient peut être donné en cas d’anxiété. L’anesthésie peut être générale lorsque l’intervention de blépharoplastie est associée à un lifting ou à une autre intervention (par exemple lipoaspiration, chirurgie mammaire, abdominale…).
La technique du lifting
Un dessin est réalisé sur le visage avant l’anesthésie pour repérer précisément les gestes chirurgicaux prévus.
L’intervention dure entre 1h30 et 3 heures.
L’intervention commence en général par une lipoaspiration des excédents graisseux en particulier sous le menton. Le geste chirurgical consiste à redraper la peau (et éventuellement les muscles superficiels, SMAS, Système Musculo Aponévrotique Superficiel) vers le haut et l’arrière après un décollement adapté. La quantité de peau excédentaire est retirée. Une chirurgie des paupières (blépharoplastie) est souvent associée. Parfois une injection de graisse (lipofilling) est réalisée au niveau des pommettes, à partir de la graisse prélevée sous le menton ou ailleurs sur le corps pour les augmenter.
Il existe plusieurs types de lifting qui démarre au niveau du cou et qui remonte de plus en plus si besoin :
- Lifting cervical : cou et bas du visage
- Lifting cervico-faciale : cou et joues
- Lifting cervico-facio-temporal : cou, joues et tempes
- Lifting cervico-facio-temporo-frontal : cou, joues, tempes et front
C’est bien sûr l’analyse des relâchements et la demande du patient qui détermine jusqu’où doit remonter le lifting.
Cas particulier du lifting frontal : il permet de traiter le front ridé et relâché, l’affaissement des sourcils, les rides du lion (rides verticales situées entre les deux sourcils).
Les cicatrices du lifting
Elles sont dissimulées au mieux dans ou au ras des zones chevelues et autour de l’oreille. Elles remontent d’autant plus haut que le lifting remonte haut.
Pour le lifting frontal (de moins en moins fréquemment réalisé depuis l’utilisation de la toxine botulique) la cicatrice est cachée dans le cuir chevelu en arrière de la ligne chevelue du front (ou juste au niveau de la ligne d’implantation des cheveux selon les cas)
En cas d’alopécie (homme chauve) les cicatrices doivent être adaptées pour les camoufler.
Si un lipofilling est prévu il sera réalisé dans les zones précédemment dessinées
Les sutures sont réalisées avec des fils résorbables, des fils non résorbables et des agrafes dans le cuir chevelu.
Le pansement du lifting
Un pansement constitué de tulle gras, de compresses et de bandes autour du visage est réalisé. Des compresses humides sont mises sur les paupières en cas de blépharoplastie associée.
Les suites du lifting du visage
Suites et consignes postopératoires
- Le premier pansement est réalisé le lendemain de l’intervention en présence de votre chirurgien. Après nettoyage des cicatrices aucun pansement n’est remis.
- Dans les premiers jours il y a des œdèmes du visages (gonflements) ainsi que des ecchymoses (bleus) qui mettrons entre 10 et 15 jours en moyenne pour régresser. Ces œdèmes sont très modérés chez certains et plus marqués chez d’autres et parfois plus important d’un côté.
- L’hospitalisation est d’une journée et parfois d’une nuit postopératoire
- Les douleurs post-opératoires sont en général modérées. Elles sont plus souvent ressenties comme un inconfort et une tension soulagée par un ou plusieurs antalgiques associés si nécessaire.
- Dans les jours qui suivent, il faut éviter les bains (dans la baignoire, la piscine ou la mer) mais les douches sont permises et souhaitables dès le lendemain. Après la douche (en utilisant un shampoing doux), il faut sécher les cheveux avec un sèche-cheveux en position froid pour éviter que les cicatrices ne restent en milieu humide.
Les bains avec immersion du visage sont autorisés après un mois à un mois et demi en général. - Tous les jours il est préconisé de nettoyer les cicatrices au sérum physiologique et de mettre de la vaseline sur les zones crouteuses éventuelles. Aucun pansement est nécessaire en général dès le lendemain de l’intervention
- Les fils de suture et agrafes sont retirés à 8 jours postopératoire en général.
- Il convient d’envisager un repos de 10 à 15 jours en fonction de la vitesse de récupération et du type d’activité professionnelle
- Il faut attendre 4 à 6 semaines pour reprendre une activité sportive. Il en est de même pour tout effort physique (soulever une charge, une valise, un enfant en bas âge…)
Complications possibles
Certaines complications rares peuvent néanmoins survenir :
- Un hématome (poche de sang sous la peau) pouvant nécessiter une réintervention (le plus souvent le jour de l’intervention).
- Une infectiontrès rare au niveau du visage, pouvant nécessiter des soins infirmiers particuliers, un traitement antibiotique voire une intervention exceptionnellement.
- Une nécrose ou une désunion (lâchage de quelques points de suture) sont susceptibles d’être responsable d’un retard de cicatrisation et de cicatrices disgracieuses. Ce risque est beaucoup plus important chez les tabagiques. C’est pourquoi l’intoxication tabagique doit être impérativement arrêtée au moins 2 mois avant l’intervention.
- Une atteinte des nerfs moteurs, exceptionnelle, pouvant entrainer une paralysie partielle
- Une imperfection ou une insuffisance de résultat souvent corrigeable par une retouche chirurgicale
Suites à moyen et long terme
- Les douleurs
Toute intervention chirurgicale entraine quelques douleurs. Les douleurs postopératoires des liftings sont en général modérées à type d’inconfort et de tension. Elles sont soulagées par des antalgiques qui vous sont prescrit. Des gènes peuvent parfois persister quelques semaines à type de tiraillements, lourdeurs, picotements, lancements, démangeaisons. Elles témoignent que les cicatrices « travaillent » c’est-à-dire qu’elles évoluent et ne sont pas arrivées à maturité. Il faut bien sur éviter de gratter.
- Une diminution de la sensibilité dans les zones opérées est habituelle et réversible dans la grande majorité des cas au cours de la première année
- Les cicatrices
Dans les suites de l’intervention et après l’arrêt des pansements, il est conseillé d’hydrater les cicatrices par des crèmes prescrites par votre chirurgien une à deux fois par jours. Les cicatrices, qui sont en grandes parties dissimulées par leur position et les cheveux, sont le plus souvent très discrètes.
Ces cicatrices peuvent passer par un stade de rougeur et de gonflement dans les premières semaines et les premiers mois. Cet aspect et certaines sensations de tiraillement et de démangeaisons qui peuvent l’accompagner s’améliorent progressivement dans les premiers mois.
Coût et remboursement
Le lifting est considéré comme une chirurgie esthétique et n’est pas prise en charge par la sécurité sociale et le patient ne peut pas bénéficier d’un arrêt de travail. Le chirurgien remet un devis au patient détaillant tous les frais. La sécurité sociale ne remboursant pas l’intervention, la mutuelle ne rembourse pas non plus les frais opératoires. La seule exception est dans des cas de chirurgie pour réparation d’une paralysie faciale qui peut être pris en charge par la sécurité sociale.
Les résultats d’un lifting du visage
Le résultat est pleinement acquis entre un et deux mois postopératoires. Cette chirurgie permet une amélioration esthétique souvent très appréciable au niveau du cou, de l’angle entre le cou et le menton (angle cervico mentonnier), l’ovale du visage, les joues, les tempes, le front en fonction du geste réalisé. Le visage parait plus jeune, plus reposé. Le résultat obtenu est tout à fait naturel car le geste chirurgical est réalisé et dosé dans ce but. Souvent peu de gens dans l’entourage remarquent cette chirurgie qui n’est pas une chirurgie de transformation mais trouvent simplement que quelque chose a changé, que la personne a bonne mine, l’air reposé.
Cas particuliers
Le lifting frontal endoscopique
Il permet d’agir sur les rides du front sans retirer de peau. C’est une technique de moins en moins pratiquée notamment grâce au développement de la médecine esthétique. Il est moins efficace qu’un lifting frontal chirurgical.
Le lifting centro-facial
Il agit sur les paupières inférieures, les pommettes et les joues. C’est une chirurgie souvent à suites plus lourdes et de réalisation moins courante. Le praticien doit être parfaitement expérimenté pour ne pas entraîner d’imperfections ou d’asymétrie.
Le mask-lift
C’est une technique de lifting qui remet en tension et modifie l’ensemble des muscles et de la peau du visage et parfois remodèle les os du visage. C’est un lifting qui a pour objectif une transformation et non un simple rajeunissement du visage. Cette technique est d’indication rare.
Les fils tenseurs
C’est une technique de remise en tension de la peau par des fils sous la peau et des mini-incisions sans enlever la peau excédentaire. Le résultat est le plus souvent modéré et transitoire.
Informations complémentaires sur le lifting
A quel âge doit-on réaliser un lifting ?
Il n’y a pas d’âge précis ni optimal pour réaliser un lifting. Chacun a un vieillissement du visage qui lui est propre et chaque personne aura ou pas un jour recours à un lifting car gêné par ce vieillissement. Le chirurgien pourra conseiller d’attendre si le relâchement est trop modéré pour justifier ce geste. Il est exceptionnel de réaliser un lifting avant 40 voir 45 ans. Parfois lorsque le lifting n’est pas encore souhaitable, des injections d’acide hyaluronique ou de toxine botulique permettent d’améliorer certains points et de faire patienter jusqu’au lifting. Il n’y a pas non plus d’âge limite théorique mais il existe parfois des contrindications médicales ou des risques médicaux particuliers qui doivent faire renoncer à cette intervention.
Peut-on prévoir le résultat ?
Le résultat dépend des gestes chirurgicaux réalisés mais aussi de la réaction du corps, de la peau, des cicatrices qui dépend de chaque patient. Cependant en fonction du type de relâchement, du type de peau, de sa finesse, de son élasticité, le chirurgien expérimenté peut évaluer le bénéfice prévisible de l’intervention et par conséquent les limites éventuels du résultat. Cela signifie que le résultat prévisible ne sera parfois pas à 100% mais à 80% ou à 50% des espoirs du patient. Ce résultat exprimé en pourcentage est bien sûr subjectif mais exprime de manière efficace et compréhensible au patient les limites du possible et ce à quoi il doit s’attendre. Cette explication est très importante pour aider le patient à prendre sa décision de manière éclairée.
Le lifting corrige t-il les rides ?
Le lifting permet de retendre la peau sans excès c’est-à-dire de traiter le relâchement de la peau et des muscles. Cela a un effet de lissage mais cela ne modifie pas la finesse et la perte d’élasticité de la peau due à l’âge et il peut persister des rides malgré le lifting. Les rides en particulier des lèvres ne sont pas traitées par le lifting. Les sillons de part et d’autre du nez (sillons nasogéniens) sont souvent atténués par le lifting mais ne sont pas totalement corrigés.
Combien de temps dure le résultat d’un lifting ?
Il est dit classiquement que le résultat dure environ 10 ans. C’est bien sûr très approximatif et susceptible d’être plus ou moins d’une personne à une autre. Le visage, après un lifting, va à nouveau reprendre son évolution et vieillir avec le patient. Si l’intervention a eu lieu alors que le relâchement était encore modéré, le retour à l’état antérieur sera parfois plus rapide. Ces points sont importants et doivent être clairement discutés et compris par le patient.
Peut-on savoir comment seront les cicatrices ?
Le chirurgien avant l’intervention vous précise la position des cicatrices. Il ne peut cependant pas vous préciser comment sera exactement l’aspect de vos cicatrices car elle dépend en grande partie de votre génétique. L’aspect d’anciennes cicatrices que vous avez sur le corps peut donner une indication de la façon dont vous cicatrisez mais chaque zone du corps peut cicatriser différemment d’une autre. Les peaux foncées cicatrisent en moyenne moins bien que les peaux claires. Les cicatrices sont dans la grande majorité des cas très discrètes et dissimulées au mieux pour les personnes qui vous côtoient.
Si les cicatrices ne vous conviennent pas, que peut-on faire ?
D’abord pour juger des cicatrices définitives il faut attendre au minimum un an et parfois davantage pour que les cicatrices soient matures. A la stabilisation des cicatrices, une consultation avec votre chirurgien permet d’évaluer le résultat et votre satisfaction. Des photographies du résultat final seront réalisées à ce moment-là.
Des injections dans la cicatrice de corticoïdes pourront parfois aider à faire dégonfler une cicatrice qui est rouge et gonflée. Parfois une cicatrice qui s’est épaissie ou élargie pourra faire l’objet d’une reprise chirurgicale le plus souvent sous anesthésie locale.
À quel moment peut-on partir en voyage et prendre l’avion ?
Parfois les patients souhaitent passer leur convalescence en province voir à l’étranger. Dans les 8 jours au moins qui suivent cette opération, il faut éviter de s’éloigner de votre chirurgien afin qu’il puisse assurer le suivi post opératoire et vous revoir facilement à sa demande ou à la vôtre.
C’est donc surtout l’éloignement qui pose problème et non le trajet en lui-même. Par ailleurs dans le mois qui suit, l’intervention entraine des limitations en termes d’efforts physique, de sport ou de baignade.
À quel moment peut-on s’exposer au soleil ?
Dans l’année qui suit, il est contre indiqué d’exposer les cicatrices directement au soleil, c’est-à-dire de bronzer au niveau des cicatrices. Dans le cas du lifting les cicatrices sont cachées et cela pose donc rarement un problème.
À quel moment pouvez-vous reprendre le travail ?
En général, il est souhaitable de s’arrêter 10 à 15 jours. La limitation est liée à la limitation des efforts et surtout au gonflement modéré ou plus important qui est gênant dans des métiers au contact avec des clients ou des collègues. Cela dépend donc du type de métier physique ou intellectuel, sédentaire ou avec des déplacements, relationnel ou non et de l’éloignement entre le domicile et le lieu de travail.
Àquel moment pouvez-vous reprendre le sport ?
La reprise du sport se fait environ à un mois.
Faut-il faire des radios des seins après la chirurgie ?
Dès lors que la première année postopératoire de suivi est passée, il convient de reprendre, comme toutes les femmes, la surveillance normale de vos seins. C’est-à-dire la surveillance par votre gynécologue et/ou votre médecin traitant et les mammographies et/ou échographie en rapport avec votre âge et les prescriptions de votre médecin.
Référence : fiche d’information de la SOFCPRE.
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